Le montagne che abiti: il “nuovo selvatico” fra montagna e città. Irene Cecchini dialoga con Paolo Cognetti

Le montagne che abiti: il “nuovo selvatico” fra montagna e città. Irene Cecchini dialoga con Paolo Cognetti

“Il ragazzo selvatico è un “nuovo selvatico”: come dicevamo è uno che va in montagna per scelta, dopo un percorso culturale. Magari è laureato e ha lasciato un buon lavoro in città. È più vicino a Thoreau che ai montanari di Revelli. Non so dire che cosa ne sarà di quest’omo servadzo o di questa fenna servadza, ma li osservo con molto interesse e faccio il tifo per loro.”

Parution: Émergence d’une littérature environnementale – Sara Buekens (Droz, 2020)

Parution: Émergence d’une littérature environnementale – Sara Buekens (Droz, 2020)

Entre 1950 et 1980, Romain Gary, Pierre Gascar, Julien Gracq, Jean-Marie Gustave Le Clézio et Jean-Loup Trassard ont exprimé leur attachement au monde naturel. Ils ont en outre été parmi les premiers à aborder des problèmes environnementaux comme la pollution de l’eau et de l’air, la disparition d’espèces animales et végétales, la destruction des paysages naturels et la menace nucléaire.

L’imaginaire de l’ours à travers une écriture de phrase-mouvement. Entretien de Marc Graciano avec Anna Jacobs autour d’”Embrasse l’ours”.

L’imaginaire de l’ours à travers une écriture de phrase-mouvement. Entretien de Marc Graciano avec Anna Jacobs autour d’”Embrasse l’ours”.

« Je ne crois pas que l’homme moderne et citadin soit si ignorant de ce que signifie la vie dans la nature et du cycle des prédations. C’est une critique souvent faite par les chasseurs ou les éleveurs – prétendument les vrais hommes du terroir – que les citadins imagineraient la nature comme un parc Walt Disney, ce qui me paraît bien injuste. »

« L’oiseau, cette évidence non domestiquée qui apporte toute la forêt sous nos yeux, dans nos oreilles ». Entretien de Fabienne Raphoz avec Laura Pauwels autour de “Parce que l’oiseau”

« L’oiseau, cette évidence non domestiquée qui apporte toute la forêt sous nos yeux, dans nos oreilles ». Entretien de Fabienne Raphoz avec Laura Pauwels autour de “Parce que l’oiseau”

Si la littérature ne peut pas agir de façon frontale sur le monde, elle est en constante interaction avec lui, elle est peut-être d’autant plus puissante que sa puissance est imprévisible, comme une formidable bête métamorphe qui non seulement s’adapte mais parfois même a quelques secondes d’avance sur lui.

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