


« Continuer à exister comme un être qu’on dirait humain »
Entretien vidéo de Guillaume Poix avec Pierre Schoentjes sur les droits humains et la justice environnementale dans le cadre de la Semaine des Droits de l’Homme organisée par le UGent Human Right Research Network, avec une texte de l’écrivain (« Circonstances aggravantes »).
CAROLINE LAMARCHE RECOMPENSÉE AVEC LE PRIX QUINQUENNAL DE LA FÉDÉRATION WALLONIE-BRUXELLES. La nouvelle comme lieu de rencontre. Entretien de Caroline Lamarche avec Sara Buekens autour de « Nous sommes à la lisière »
Caroline Lamarche vient d’être recompensée avec le Prix Quinquennal de littérature de la Fédération Wallonie-Bruxelles pour l’ensemble de son œuvre. Nous la félicitons chaleureusement et nous vous invitons à (re)lire son entretien avec Sara Buekens pour Literature.green : « Éplucher des dossiers environnementaux, marcher pour le climat, s’installer dans les arbres menacés par un projet d’autoroute, distribuer des flyers en expliquant notre action, interpeller les politiques, ce n’est pas du tout la même chose que l’engagement sur la page, fait, lui, de mots, de silences, de virgules et de points. »
Parution: « Littérature et Écologie. Le Mur des abeilles » par Pierre Schoentjes (José Corti, 2020)
L’équipe de Literature.green a le plaisir de vous annoncer la parution chez José Corti de « Littérature et Écologie. Le Mur des abeilles » par Pierre Schoentjes.
VINCENT VILLEMINOT LAURÉAT DU PRIX DU ROMAN D’ÉCOLOGIE 2020. L’utopie à l’épreuve de la littérature. Entretien avec Vincent Villeminot autour de « Nous sommes l’étincelle »
« Si la fiction romanesque doit avoir un rôle, ce serait éventuellement celui de dévoiler plus précisément le monde, de le regarder en face. C’est le seul rôle que je connais au roman : montrer, et parfois, montrer mieux. En ce sens, si un roman montre les beautés et les fragilités des lieux qu’il parcourt, peut-être contribue-t-il à une plus grande lucidité des lecteurs et lectrices qui veulent bien lire ça. »
Littérature et écologie – Nouveau cycle de conférences à la Bibliothèque Nationale de France
Septembre 2020- Avril 2021
Contre la carence de l’imaginaire : du Larzac aux nouvelles communes. Entretien de Jean Rouaud avec Pierre Schoentjes autour de «L’Avenir des simples»
«On expérimente. Telle solution vaudra là, qui ne marchera pas ailleurs, ou peut-être, on essaiera. Les gens ont une vraie capacité à s’arranger entre eux, à s’auto-organiser. Pas besoin de ‘premier de cordée’ qui entraine tout le monde dans sa chute. Coupons la corde.»
Vous ne boirez plus votre café de la même manière. Entretien de Raphaël Confiant avec Thabette Ouali autour de son dernier roman, « Grand café Martinique »
« C’est qu’à mon sens, la littérature doit pouvoir contribuer d’une part à la reconquête de notre mémoire antillaise et de l’autre, à conforter notre fragile identité créole née dans le fracas du génocide des Amérindiens, de l’esclavage des Noirs et de l’engagisme des Asiatiques (Indiens et Chinois) avec un ultime apport syro-libanais à la toute fin du XIXe siècle. Cette identité mosaïque, kaléidoscopique comme disait Edouard Glissant nécessite de sortir des sentiers balisés de la littérature ‘pure’. »
Vedute parallele: la Storia e il paesaggio in « Grüne Linie ». Irene Cecchini dialoga con Giancarlo Barzagli
« Credi di camminare il sentiero e invece è il sentiero che ti cammina. Sono quelli che lo hanno seguito prima di te con i piedi e le suole. E i tuoi piedi rispondono alle loro impronte, come la voce risponde ad un’altra voce. »
Textes inédits, images et vidéos de la rencontre écopoétique avec les écrivain.e.s suisses Jérôme Meizoz, Aude Seigne et Anne Sophie Subilia.
Textes inédits
Aude Seigne: « La génératrice »
Anne-Sophie Subilia: « Dernières volontés »
Jérôme Meizoz: « Déposition »
Vidéos des lectures et de la table ronde avec les universitaires Pierre Schoentjes et Claire Jaquier
LA SÉLECTION 2020 DU PRIX DU ROMAN D’ÉCOLOGIE (5). Une affaire de tissage. Entretien avec Gisèle Bienne autour de « La Malchimie »
« Le roman, on me l’a dit au sujet de La malchimie, opère différemment d’un essai, il y a cette impression de profondeur qu’éprouve le lecteur : nous creusons autour d’un ou plusieurs personnages des problématiques qui prennent forme concrètement, s’ancrent dans des parcours de vie qui participent de la nôtre, nous travaillons à des mises en situation. À partir d’un cas particulier, quelque chose de plus universel est visé, atteint peut-être. »