


La littérature au service de l’animalisme, l’animalisme au service de la littérature. Échange entre Camille Brunel et Hannah Cornelus autour de « La Guérilla des animaux »
« Je n’aime pas l’idée d’une littérature qui se contente de divertir, probablement parce que c’est une posture que je trouve un peu hypocrite dans la mesure où on n’échappe jamais à sa petite propagande, même si on n’écrit que des haïkus […] l’animalisme est d’ores et déjà saturé de textes militants, tandis que la littérature est beaucoup plus timorée – peut-être parce que les écrivains ont tendance à revendiquer une forme d’apolitisme, par honnêteté ou par crainte de passer pour des idéologues. »
« Maldifiume »: Responsabilità narrativa e resistenza liquida. Irene Cecchini dialoga con Simona Baldanzi
« Potrai fare a meno di certi arti, ma le amputazioni hanno dei rischi e comunque nel territorio non può succedere: è molto più collegato del nostro corpo. »
Feminizing Wilderness Writing in the Anthropocene. An Exchange between Ida Olsen and Abi Andrews, Author of « The Word for Woman is Wilderness » (2018)
“There is still a dichotomy of human vs nature within ‘nature writing’, and writers that write about ‘nature’ are still largely male, white, middle class writers with specialist ‘naturalist’ knowledge. I don’t think we have time in our rapidly simplifying life-web to think that everything other than human is the domain of only ‘nature writers’ and their readers. Every writer is a nature writer now”
Fête du livre de Bron – « La vie sauvage » – 6-10 mars 2019
Avec les vidéos des conférences de Pierre Schoentjes « L’esprit des lieux, une version française? » et d’Oliver Gallmeister « Nature writing, une tradition anglo-saxonne? »